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The Tallis Scholars return to Chamberfest in a spectacular festive concert in the glorious acoustic of Christ Church Cathedral. In addition to seasonal favourites, they’ll share selections by Giovanni Pierluigi da Palestrina, just ahead of the monumental composer’s 500th anniversary in 2025.“The most traditional way to celebrate Christmas is to turn to Gregorian chant. We do this tonight in three different styles: the interpretation of it by the 12th century abbess Hildegard of Bingen (these are her own compositions); the living Gregorian tradition as shown in settings of the Salve Regina, Ut queant laxis, Magnificat and Nunc dimittis; and as adapted in the medieval popular song In dulci jubilo; and Arvo Pärt’s reimagining of this tradition, partly in the Orthodox view. In particular there is his Da pacem, where the alto voice quotes a whole chant melody, running from start to finish of the piece. For a thousand years, chant represented all there was of ‘classical’ music. And it remains second to none in evoking the atmosphere of the great feast days.”
— Peter Phillips
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Les Tallis Scholars reviennent au Chamberfest pour un concert festif spectaculaire dans la glorieuse acoustique de la cathédrale Christ Church. Outre les classiques de la saison, ils présenteront des sélections de Giovanni Pierluigi da Palestrina, juste avant le 500e anniversaire de ce compositeur monumental, en 2025.
« La manière la plus traditionnelle de célébrer Noël est de se tourner vers le chant grégorien. Nous le faisons ce soir dans trois styles différents : l’interprétation qu’en fit l’abbesse du XIIe siècle Hildegard de Bingen (il s’agit de ses propres compositions) ; la tradition grégorienne vivante, telle qu’elle apparaît dans les arrangements du Salve Regina, de l’Ut queant laxis, du Magnificat et du Nunc dimittis, et telle qu’elle est adaptée dans la chanson populaire médiévale In dulci jubilo ; et la réimagination de cette tradition par Arvo Pärt, en partie dans la perspective orthodoxe. On peut citer en particulier son Da pacem, où la voix d’alto cite toute une mélodie de chant, du début à la fin de la pièce. Pendant un millier d’années, le chant a représenté tout ce qu’il y avait de « classique » dans la musique. Et il n’a pas son pareil pour évoquer l’atmosphère des grandes fêtes ».
— Peter Phillips
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414 Sparks St, Ottawa, ON K1R, Canada
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