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Les nombreux partis et mouvements d’extrême-droiteen l’Europe présentent des traits communs, partageant
des valeurs telles qu’un nationalisme exacerbé, un
conservatisme social et le rejet de l’immigration.
Dans ce contexte, de nombreuses organisations
syndicales européennes et nationales se sont mobilisées,
notamment avant les élections européennes de juin 2024.
Néanmoins, de nombreux pays de l’UE ont effectué un
coup de barre à droite lors des élections européennes.
Mais trois pays nordiques semblent résister à la
« vague brune » qui s’est abattue sur notre continent.
Copenhague, Helsinki et Stockholm démentent cette
poussée annoncée.
Par exemple, en Suède, lors des élections européennes,
les Sociaux-Démocrates finissent grands vainqueurs,
reléguant les Démocrates de Suède, parti nationaliste
aux origines néonazies, qui passe de la deuxième place
en 2022 à la quatrième place.
𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 ? 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 ? 𝐑𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐞́𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 :
𝐍𝐢𝐧𝐚 𝐁𝐞𝐫𝐠𝐦𝐚𝐧 : Secrétaire internationale des syndicats suédois des professionnels de la santé (Vårdförbundet).
𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐨𝐢𝐬𝐞 𝐆𝐞𝐧𝐠 : Présidente de la Fédération syndicale européenne des Services Publics (Epsu) représentant les 8 millions de travailleurs de ce secteur.
𝐀𝐫𝐧𝐚𝐮𝐥𝐝 𝐋𝐞𝐜𝐥𝐞𝐫𝐜 : Politologue, professeur de sciences politique, titulaire de la Chaire Jean Monnet "Telos, Ethos, Nomos de l'Europe" à Nantes Université.
Table ronde organisée par l'association Europagora
Infos : secretariat@europagora
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Event Venue & Nearby Stays
Passage Graslin - 18 rue Scribe, 44000 Nantes, France, 8 Rue Jean de La Fontaine, 44000 Nantes, France,Nantes, France
